La mort, figurée par un jeune corbeau, dépouille desséchée, partiellement déplumée, nettoyée de sa chair : ainsi tout un chacun peut aisément la reconnaître.
L’univers : une planche de bois flotté au regard inquiet et perdu, ce qui – pour peu que le spectateur fasse preuve d’un minimum d’empathie – se conçoit aisément.
Quant à Dieu, dominant la scène, central, il est ici clou rouillé et cassé, incarnation explicite, du moins dans une perspective néo-testamentaire.

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